lundi 21 décembre 2015

♫ Mon bilan de l'année 2015 (Première partie : sortie de "Jean-Louis Murat : Coups de tête")

Cette première partie est consacrée à la sortie en début d'année de mon livre Jean-Louis Murat : Coups de tête.

Le 5 février est sortie ma biographie sur Jean-Louis Murat, la première consacrée au chanteur depuis ses débuts, avec les témoignages exclusifs de Jean-Bernard Hebey, William Sheller, CharlElie Couture, Bertrand Burgalat et Mathieu Ferré, le tout agrémenté d'une préface - remarquée et remarquable - de Dominique A... C'est une très grande fierté pour moi.
Résultat : un beau buzz incontrôlé dans la presse people et une mention, entre autres, dans le billet humoristique de Laurent Gerra sur RTL mais pas un mot du livre dans la presse musicale (à l'exception de l'impeccable mensuel de référence JUKEBOX et de Platine, le magazine de la variété française, merci à eux) et encore moins dans la presse dite "culturelle" !

Je ne vais pas me plaindre, bien au contraire : l'important est que l'ouvrage existe.

Ci-dessous, la chronique du livre parue dans Jukebox Magazine :



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Ambiance rock'n'roll en effet, trop rock pour Les Inrocks et Rock&Folk en tout cas.

Pour plus de détails, j'invite les curieux à lire mon interview en ligne, sur le site de l'éditeur, publiée à la sortie du livre, ici. Quant aux haters évoqués dans l'interview (au nombre de... deux, en gros), les pauvres, ils seront des interlocuteurs valables quand ils auront publié une biographie sur Murat chez un grand éditeur (quand ils auront donc le courage de se frotter au réel et, accessoirement, le talent nécessaire pour se faire publier). Je comprends qu'ils soient perturbés, on ne ressort pas indemne d'une fascination aveugle - proche de la déification délirante - pour un chanteur comme Murat, qui n'est lui-même pas un modèle de sérénité.

Gilles Médioni, chef de rubrique Musique à L'Express et sociétaire des Sonos tonnent de Télérama, tweetait ceci deux mois après la sortie du livre :

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En 2016, l'ouvrage prolongera sa jeune existence et continuera sa belle vie en librairie comme dans les nombreuses bibliothèques qui l'ont ajouté à leur catalogue. Il n'a donc pas fini de faire parler de lui, et c'est heureux !

Faites comme Christophe Officiel, CharlElie et Causeur, suivez-moi sur Twitter :
https://twitter.com/sebbataille

5 commentaires:

  1. Cher Sébastien,
    Depuis que j'ai découvert votre blog, il y a moins d'un an, il m'est souvent arrivé en vous lisant d'hésiter entre la consternation et l'énervement. Mais en cette soirée d'hiver particulièrement douce, alors que les "fêtes" approchent, nous invitant à tirer le bilan d'une année morose, je me dis qu'au fond, votre morgue et votre malhonnêteté - deux défauts que je n'avais pas souvent vus, au cours de mon existence, portés à ce point d'accomplissement chez une même personne - enlaidissent tout de même moins notre monde que certains événements tragiques survenus cette année. Alors, ce soir, la consternation et l'énervement se muent chez moi en une simple tristesse.
    Oui, je vous trouve profondément pathétique, Sébastien.
    Je vous souhaite malgré tout de joyeuses fêtes, avec des bulles et de la bonne musique.
    Cordialement.

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    1. Cher Anonyme,
      le mieux je pense, cela peut faire l'objet d'une bonne résolution pour 2016, serait encore d'éviter de revenir sur ce blog, vous vous en porterez mieux. Si vous voyez de la malhonnêteté chez moi, c'est que vous portez en vous ce point d'accomplissement de la quintessence du monde inversé d'aujourd'hui, en une seule personne. D'ailleurs, de quelle malhonnêteté parlez-vous cher Anonyme ? Pouvez-vous éclairer les lecteurs de ce blog toujours plus visité et donc fatalement plus énervant pour certains autres anonymes de votre acabit. Vous me trouvez "profondément pathétique" dites-vous. Ce qui est pathétique, c'est de revenir sur un blog que l'on n'aime pas. Ce qui est pathétique, c'est d'exprimer tant de reproches en qualité d'Anonyme, puisque du coup, cela n'a aucune valeur cher Anonyme (qui parle, d'où parlez-vous, quel hater êtes-vous, quelle honnête personne êtes-vous pour venir essuyer vos pieds ici anonymement, etc.). Ce qui est pathétique, c'est d'insulter les gens et de les juger sans faire preuve de courage, tels les traîtres et les lâches qui ont fait de cette année une année morose. Je réponds à un Anonyme agressif, c'est-à-dire à personne, mais ça fait du bien. Je ne vous souhaite pas de bonnes fêtes puisque je ne sais pas qui vous êtes, vous m'excuserez.
      Cordialement,
      Sébastien Bataille

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  2. Re-Bonsoir Sébastien,

    Tout d'abord, sachez que c'est toujours un réel plaisir de discuter avec vous.

    Je vous remercie pour vos bons conseils, mais je continuerai à venir visiter votre blog tant que vous y traiterez de sujets qui m'intéressent et quand l'envie m'en prendra. Il se trouve que j'aime bien lire ou écouter les gens qui ne pensent pas forcément comme moi, je trouve cela enrichissant, à défaut d'être toujours réjouissant.

    Je ne relève pas vos attaques quant à mon anonymat (si vous ne voulez plus de commentateurs anonymes, je vous invite à supprimer cette option de votre blog, je suppose que c'est techniquement possible), mon nom ne vous apprendrait pas grand-chose et j'aurais pu, en effet, vous l'indiquer, mais votre demande est formulée avec tant d'affabilité que je crois que je préfère m'abstenir.

    En revanche, puisque vous m'invitez à "éclairer" vos lecteurs sur ce que j'appelle votre "malhonnêteté", je suivrai votre suggestion. Mais j'avoue que je ne sais comment procéder... Voulez-vous que j’énumère les exemples un par un depuis la création de votre blog ? Ou que je m'en tienne à ce billet ? La seconde option me paraît plus simple.

    So, petit exemple pour Bébé Ours : parler de "beau buzz incontrôlé dans la presse people", alors que Pure Charts a publié des extraits de votre livre en "exclusivité" deux jours avant sa parution et que vous avez relayé leur article le jour-même me semble excessif ; j'aurais pour ma part remplacé "incontrôlé" par "soigneusement orchestré" (ce qui n'est d'ailleurs pas condamnable).

    Moyen exemple pour Maman Ours : écrire que vous n'allez pas vous plaindre que l'on n'ait pas parlé de votre ouvrage dans la presse musicale et dans la presse culturelle, alors que vous avez consacré des dizaines de billets à geindre (et à insulter au passage vos confrères) au cours des derniers mois me paraît... moyennement honnête (?).

    Gros exemple pour Papa Ours : considérer que les gens qui ne parlent pas de vous sont d'affreux censeurs et que eux qui osent vous critiquer sont des gens animés par la haine ("haters"), pitoyables ("les pauvres"), coupés du réel, à la limite de la psychose et indignes de dialoguer avec vous sous prétexte qu'ils n'ont jamais publié de livres chez un "grand éditeur", me semble... je vous laisse trouver l'adjectif adéquat.

    Bien sûr que je vous excuse, vous savez bien que "Tout est pardonné".

    Cordialement.

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    1. Quelle morgue, cher Anonyme ! Heureusement que je suis là pour remplir vos journées, je vois que vous êtes un fervent lecteur puisque vous êtes maintenant prêt à remonter jusqu'à l'origine de mon blog (soit huit ans en arrière) pour recenser mes prétendus propos malhonnêtes, pas mal pour un nouveau lecteur arrivé ici "il y a moins d'un an" (cf. votre premier message). Les lecteurs jugeront votre pertinence d'Anonyme. Je ne vais pas faire long, vous avez eu vos 5 minutes d'attention, c'est bien plus qu'il n'en faut pour un Anonyme, si vertueux soit-il. Pour faire vite, ce n'est pas parce qu'on accorde une exclusivité à un média - initiative qui n'est d'ailleurs pas de mon ressort mais de celui de l'attachée de presse du livre - qu'il y a un buzz derrière. Après, je relaie et fais la promo de mon livre sur mon blog, quoi de plus naturel ? Parler d'orchestration est ridicule. Vous jugez des réalités qui vous échappent complètement, qu'y puis-je ? Pour le reste (papa ours, maman ours), tout a déjà été dit sur ce blog. Je sens un gros potentiel en vous, beaucoup de ressources, une énergie et un talent à exploiter ailleurs que sur des blogs énervants tenus par des gens pathétiques (mais ce n'est que mon avis).
      Bonne continuation, et... basta !

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    2. Bonjour Sébastien,

      Accordez-moi cinq minutes de gloire bataillowarholienne supplémentaires, ensuite je vous laisserai volontiers le dernier mot, vous êtes ici chez vous...

      J'ai découvert votre blog il y a moins d'un an, effectivement, suite à la parution de votre dernier (en date !) livre. Et je vous confirme que j'ai lu depuis quasiment l'intégralité des billets que vous y avez publié (je parle bien de ce blog-ci, pas du précédent), une tâche qui, en près de douze mois, n'a rien d'un exploit. Je voulais en effet tenter de mieux comprendre votre fonctionnement psychologique et la façon dont vous envisagiez la promotion de votre ouvrage (assez proche, au final, du numéro effectué pour celui sur Duran Duran). Voilà pour ma "pertinence d'Anonyme".

      Concernant mon anonymat, je comprends qu'il vous perturbe. Vous préféreriez sans doute connaître mon nom, afin de pouvoir vous en moquer en le déformant, comme vous l'avez fait avec ceux de certains de vos confrères (ah, la nostalgie de l'école primaire), avoir ma photo, afin de pouvoir la mettre en scène avec ironie, comme vous l'avez également fait avec d'autres confrères ou bien connaître ma position dans l'espace médiatique, afin de pouvoir l'instrumentaliser, comme vous le faites fréquemment. Hélas, je n'ai qu'une poignée d'arguments à vous offrir, ce qui rend l'éructation solitaire du blogueur-arbitre-des-élégances-journalistiques un tantinet plus difficile. Mais si cela peut vous aider, vous n'avez qu'à m'appeler Christophe, Franck, Olivier ou Bernard, par exemple...

      Concernant Bébé Ours, je retiens que votre attachée de presse et vous vivez sur deux planètes différentes et ne communiquez jamais. Mais puisque vous me parlez de ces "réalités" qui m'échappent (décidément, ce doit être pénible de n'avoir affaire qu'à des interlocuteurs coupés du "réel" et des "réalités"... vous aviez déjà ce souci avant de rencontrer Élisabeth Lévy ou c'est elle qui vous a contaminé ?), je supputerai que compte tenu, premièrement, de l'état économique des médias qui amplifie leur tendance au suivisme, deuxièmement, du goût actuel de ces mêmes médias pour le "buzz" et, troisièmement, des us et coutumes de la presse dite "people", vous deviez bien vous douter, pardon, votre attachée de presse devait bien se douter que le pseudo-clash que vous mettiez en avant entre JLM et ce chenapan d'Hébey allait être repris par les confrères de Pure Charts et créer un (mini) buzz. Ceci dit, pour vous faire plaisir, je suis prêt à remplacer "soigneusement orchestré" par "minutieusement recherché". C'est mieux ?

      Je laisse Maman Ours et Bébé Ours de côté, puisqu'ils ne vous ont inspiré que le silence - silence que je respecte.
      Et que je conserverai moi-même à l'avenir, sauf si vraiment vous vous acharnez à insulter les gens qui ont le tort de ne pas placer votre travail au niveau d'excellence que vous estimez avoir atteint, en les faisant passer à la moindre occasion pour des demi-dingues minables et haineux.

      Nonobstant ces nombreux désaccords, je vous remercie pour le talent que vous me prêtez (hélas, la "réalité" est moins séduisante...) et je tacherai d'en faire usage au mieux, dans d'autres espaces.

      Bonne continuation à vous aussi.

      Cordialement.

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