Jusqu'à aujourd'hui, on croyait juste que Bertrand Cantat avait un bon psy. Mais on s'était trompé.
De rockstar à tueur : le cas Cantat est un documentaire terrifiant, où le chanteur apparaît comme le pur taré que j'ai pu voir sur scène lorsqu'il éclatait son micro à frappes répétées en hurlant "Admirez la solidité !!", et où, accessoirement, Ardisson, Pascal Nègre et Arnaud Viviant (le Jackie Sardou de la critique littéraire) passent pour les cons qu'ils sont.
Marie Trintignant a-t-elle annoncé à Cantat qu'elle le quittait lorsqu'ils sont revenus à l'hôtel ? On ne le saura jamais, car on ne connaît qu'une seule "vérité", la sienne, même si mensongère comme il l'a prouvé.
A ceux qui prétendent qu'on voit Cantat pleurer lors de son audition à Vilnius, je voudrais dire qu'on ne voit pas une seule larme couler de ses yeux de mauvais comédien.
Je ne suis pas client de Lio mais je dois admettre que je partage à 100% sa conclusion formulée dans le doc.
Et quelque chose me dit que les vœux de Richard Kolinka ("ne plus voir sa gueule, qu'il disparaisse !") vont être exaucés : la suppression des pages Facebook officielles du groupe Détroit et de la rockstar tueuse sont un indicateur éloquent.
Il était peut-être temps d'éteindre ce grand incendie criminel provoqué par celui qui chantait jadis : "Pyromane à temps complet, j'ai mis le feu à tout ce que j'ai touché."
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