vendredi 29 avril 2016

♫ Enfin un papier intéressant sur "Morituri", le nouvel album de Jean-Louis Murat !

A lire sur le site féminin Katy's Eats, un papier sur l'album Morituri (le nouveau Jean-Louis Murat) qui change du ronron auto-satisfait des pisse-froid de la presse bobo.

Au passage, les fidèles du blog ont remarqué que ma prophétie s'est accomplie : les copains de Jean-Louis Murat (Franck Vergeade de Magic, Olivier Nuc du Figaro, etc.) ont rendu leur copie et, sans surprise, n'ont bien évidemment pas parlé du livre interdit dans leurs interviews "lèche-bottes blues" du chanteur.

Céline dressait le tableau de ce petit jeu parisien de l'entre-soi mieux que quiconque : 
"Ici c'est les cliques : voilà, il y a la clique du Figaro, la clique des Goncourt, la clique de l'académie [...], on chante énormément les mérites de celui qui appartient à une clique et on répudie les autres, on les traite de tous les noms ou on ne les nomme pas du tout, il y a un interdit."

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"Dessine-moi l'insoutenable légèreté de l'être"

Je crois qu'au moment où j'écris ces lignes mon bouquin sur Murat est en rupture de stock (encore) sur Amazon, il faut croire que leurs vieilles méthodes staliniennes ne marchent plus à l'heure d'internet.
En même temps, on ne peut pas les accabler s'ils se foutent royalement de leurs lecteurs, tous ces moutons de la critique, il faut les comprendre aussi : moins ils en ont (de lecteurs), plus ils ont de subventions semble-t-il :
Selon un rapport de l'Assemblée nationale, Le Figaro reçoit en aides directes près de 15 millions € par anEn 2014, il devient le titre français le plus subventionné, juste devant Le Monde, avec 16 millions d'euros d'aides directes (source : Wikipédia).

Au passage, pour le plaisir, voici un commentaire d'un lecteur du Point trouvé sous un papier posté sur le site de l'hebdomadaire le 30 janvier 2016. Je le dédie à tous ces tartufes innocents :

« Alors, pourquoi ne pas traiter ce texte par l'indifférence et l'oubli ? » écrivez-vous. Curieuse question : ne pas aimer quelqu’un ou quelque chose devrait-il conduire à se taire ? L’assourdissant silence vaudrait réprobation. Tous les dictateurs en rêveraient ! En démocratie, lorsque l’on rejette, on a le droit, voire même le devoir de l’exprimer. Sauf à préférer la langue de coton, le politiquement correct, le soft, les mots-valises et la bien-pensance qui, depuis qu’on les a inventé, n’ont guère fait avancer le monde.

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