Quand on n'est pas capable de bosser vraiment entre deux tasses de café syndical, de mobiliser de réelles compétences, on se cache derrière des discours vaseux, des concepts creux et démagos pour donner le change.
Quand on prépare une cérémonie internationale, on ne prépare pas la fête du slip.
Qu'ils aillent prendre des leçons chez les Anglais, pays des hard workers fiers de travailler pour le bien commun, organisateurs de l'éblouissante, magnifique, audacieuse, élégante cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de 2012. Elle restera dans l'histoire comme un modèle.
Les éléments de langage ("idées républicaines", "inclusion", "générosité", "bienveillance", "solidarité", "message de paix" blablabla) seuls, sans consistance derrière, sans réalité pour les illustrer, ont pour seule conséquence d'ériger la honte internationale en art.
Et... basta ! comme disait notre regretté Léo Ferré :
"Je tiens que le désespoir des ordures est une incompétence biologique à pouvoir en sortir un jour ou l'autre, coûte que coûte.
Quand la merde déborde, c'est encore de la merde"
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