A l'occasion de la sortie du Nouveau Dictionnaire du Rock (auquel j'ai collaboré), j'ai interviewé son maître d’œuvre, l'excellent Michka Assayas, pour Causeur.
Retrouvez l'article en ligne ici :
http://www.causeur.fr/causeur-rock-assayas-28162.html
samedi 21 juin 2014
vendredi 20 juin 2014
♫ "Un Jour Un Live" N°9 : ma rubrique perso pour ROLLING STONE (Spéciale Stade de France Indochine)
De Novembre 2009 à Octobre 2010, le
mensuel Rolling Stone m'a confié
une rubrique spécialement créée pour notre collaboration : "Un Jour Un
Live". Le papier devait s'appuyer sur l'actu concerts, dans l'esprit de
mon blog et de mes chroniques pour Bakchich. Les numéros couvrant cette
période étant quasiment tous épuisés
aujourd'hui, je reproduis ici
mes papiers publiés dans le cadre de cette rubrique hors norme,
interrompue par l'arrivée du nouveau rédacteur en chef (le gars qui a
traité les fans d'Indochine de "gamins handicapés à qui on donne les
places de concert").
Un Jour
Un Live
Le Stade de France et le Parc des Princes sont devenus les nouveaux temples du sexe, depuis que Bigard y a effectué son lâcher de salopes (le SDF a aussi eu son 11 septembre, le 18 juin 2004). Le 19 juin, Sexion d’Assaut investit le Parc, en première partie de NTM qui, rappelons-le, signifie Nique Ta Mère (une déviance freudienne conviviale que Michel Onfray - l’empêcheur de tourner en rond dans les cercles amphithéâtreux de Caen - remet en cause actuellement). Sexion d’Assaut en première partie de Nique Ta Mère, bonjour les préliminaires ! Et sept jours après, le 26 juin, le Barnum Indochine revêt sa panoplie électro-vampirique transcendante dans le Stade. Si Freud avait vécu au 21ème siècle, il aurait admis que ses patients ne rêvent pas de coucher avec leur mère mais avec le chanteur d’Indochine, et qu’ils ne rêvent pas de tuer le père, juste qu’on leur foute la paix pour toujours ! Pour toujours !! Le roi Didier Wampas l’a démontré dans un élan frénétique de réchauffement climatique en copulant allègrement (allègrement, réchauffement climatique) avec Nicola Sirkis lors de la mémorable promotion du titre « Harry Poppers ». Les mauvaises langues diront qu’après Bigard, Indochine est le deuxième comique à remplir le Stade de France mais rendons à César ce qui appartient à César : Nicola Sirkis sera, devant 80 000 dévots, sacré empereur le 26 juin (ben oui, si Didier est le roi, alors Nicola est l’empereur, minimum). Gaspar Noé est annoncé à la réalisation du DVD du Stade de France, Nicola Sirkis estimant qu’il est l’homme de la situation puisqu’il a réussi à filmer un pénis vu de l’intérieur du vagin dans son dernier film. Après avoir longuement étudié le concert de Johnny au Stade et remarqué l’aigle du fronton (Cabu Productions), Nicola a aussi estimé que deux mèches de cheveux géantes en lieu et place de rideau de scène auraient de la gueule. Aujourd’hui, je suis en mesure de vous dévoiler en exclusivité le début du concert évènement : quelques notes de guitare retentissent, cristallines, avec une petite reverb’ à la Shadows. Dominique Nicolas s’approche au bord de la scène (Dominique Nicolas, m’enfin !! Comment ça : « C’est qui ? » !!), la mélodie prend corps. Oh punaise, c’est « Tes yeux noirs » !! Silence total. J’arrête là, je vous en ai déjà trop dit. Il y aura probablement des arrêts cardiaques dans l’assistance, le groupe ne se fait pas d’illusion, il y a toujours des individus pour gâcher la fête. Les Champs Elysées seront envahis comme en 1998, au son de klaxons jouant « Canary Bay » (en vente au stand du merchandising le soir même, disponibles aussi en version « Shay demandé à la lune »), le règne d’Indochine sonnera le crépuscule des idoles du passé.
♫ "Un Jour Un Live" N°12 : ma rubrique perso tenue dans ROLLING STONE
De Novembre 2009 à Octobre 2010, le
mensuel Rolling Stone m'a confié
une rubrique spécialement créée pour notre collaboration : "Un Jour Un
Live". Le papier devait s'appuyer sur l'actu concerts, dans l'esprit de
mon blog et de mes chroniques pour Bakchich. Les numéros couvrant cette
période étant quasiment tous épuisés
aujourd'hui, j'ai reproduit ici
mes papiers publiés dans le cadre de cette rubrique hors norme,
interrompue par l'arrivée du nouveau rédacteur en chef (le gars qui a
traité les fans d'Indochine de "gamins handicapés à qui on donne les
places de concert").
Un Jour
Un Live
Ce mois-ci, ZZ Top pose son vieux
sleeping bag sur la scène de Bercy. A quelques jours près, ils pouvaient le
partager avec Lady Gaga… zizi gaga assuré pour nos rough boys. Bon, j’arrête
là : un ami humoriste, sachant que j’allais faire un papier sur ZZ Top,
m’a vivement déconseillé de le faire, sous prétexte qu’il vaut mieux éviter de
faire de l’humour sur les barbus par les temps qui courent si on tient à la
vie. Alors comme je ne suis pas téméraire pour un sou, je vais éviter le sujet
et vous parler de Supertramp. On peut encore rire des barbants non ? Heu…,
je crois que je vais aussi éviter en fait. En plus, Supertramp sans Roger
Hodgson, franchement… et puis quand on voit l’affiche on n’a pas vraiment envie
d’y aller, avec le parasol de la célèbre pochette Crisis ? What
crisis ? au milieu du public. Qui va oser mettre les pieds dans ce
concert, alors que tout le monde sait bien que ça porte malheur d’ouvrir un
parasol à l’intérieur !? Au moins, vu les tensions affichées entre les
deux fondateurs du groupe par médias interposés, on a enfin la réponse à la
question « Crisis ? What crisis ? » trente ans après :
c’est la big fucking shit crisis man !! Pas prêts de se réconcilier autour
d’un breakfast en Amérique ou ailleurs ces deux là, ni même autour d’un petit
solo de saxo à la con. Bon, comme on n’est pas là pour rire, on ne parlera pas
de A-Ha au Zénith. (pas rire… pas A-Ha). Eiffel, le nouveau groupe de Bertrand
Cantat, joue pour la première fois de sa carrière en tête d’affiche du Zénith,
c’est bien mérité. On espère juste qu’ils ne demanderont pas à Jean-Luc Delarue
de venir faire les chœurs sur « Ma part d’ombre » : à tout
moment Delarue peut aussi dire non. De toute façon, l’animateur préfèrera sans
doute se réserver pour le concert de Robert Plant (« de
cannabis ?! »). Parce que ce que propose Higelin au Zénith, à savoir
champagne pour tout le monde et caviar pour les autres, ce n’est pas vraiment
sa came. Enfin bon, on ne va pas en faire toute une histoire. Au final, pour
échapper à toutes ces crises, ces people déviants et les menaces d’attaque
terroriste, le meilleur moyen de passer un concert pépère en ce mois d’octobre
sera encore d’écouter celui que Robbie Williams, le Billy Joël des années 2000…
le Patrick Hernandez des années 2000, donnera sur « la première radio de
France ». D’ailleurs, j’aimerais bien que quelqu’un me dise un jour le nom
de la dernière radio de France. Et la dernière dame de France, c’est qui ?
On parle trop souvent des premiers mais pas assez des derniers. Alors
laissez-moi rendre hommage à Adriano Malori, dernier du Tour de France 2010,
arrivé avec plus de quatre heures de retard… de quoi rendre vert Axl Rose.
jeudi 12 juin 2014
♫ Fête des pères !!
Si votre père est fan de Pavarotti, ce livre est fait pour lui :
Quant à Simon, il sillonne les mers à nouveau et prend des distances polies avec les autres pendant quelque temps. Le 12 septembre 1995, il participe en Italie au gala de charité "Pavarotti & friends" au profit des enfants de Bosnie, en présence de Son Altesse royale la princesse de Galles, Lady Diana. De nombreuses stars internationales, Bono et The Edge de U2, Brian Eno, Zucchero, Dolores O'Riordan (chanteuse des Cranberries), etc. ont répondu à l'invitation du célèbre ténor Luciano Pavarotti. Une demi-heure après le début du spectacle, Simon Le Bon et Pavarotti entrent en scène pour interpréter le classique de Duran Duran "Ordinary World", accompagnés de l'orchestre philharmonique de Turin. Alors que tout se déroule magnifiquement bien pendant les cinq premières minutes, le maestro perd les pédales dans le final et semble chercher une note à peu près juste dans une tonalité à peu près adaptée, sans succès, Simon Le Bon - impérial depuis le début - s'accroche sans broncher jusqu'au bout, ne laissant rien paraître de ce moment de solitude. Pavarotti a l'air totalement satisfait de la prestation quand les applaudissements s'élèvent, l'opéra est sauf.
Quelques années plus tard, en 2000, Simon Le Bon évoquera avec amusement cette prestation très particulière : "C'était drôle parce que Pavarotti n'a pas du tout chanté les backing vocals comme je voulais qu'il les chante. On a quand même réussi à faire la chanson correctement, on s'en est même plutôt bien sortis [...] Dans le public, il y avait la princesse Diana. Mais un rang derrière elle, il y avait ma mère, avec un immense sourire scotché sur le visage, toutes dents dehors ! Chaque fois que je la regardais, je ne pouvais m'empêcher de rire. Je suis sûr que la princesse Diana a cru que je me moquais d'elle, mais c'est ma mère qui me faisait rire."
(Extrait de Duran Duran : Les Pop modernes, Fayard, 2012).
La reprise :
L'original :
Quant à Simon, il sillonne les mers à nouveau et prend des distances polies avec les autres pendant quelque temps. Le 12 septembre 1995, il participe en Italie au gala de charité "Pavarotti & friends" au profit des enfants de Bosnie, en présence de Son Altesse royale la princesse de Galles, Lady Diana. De nombreuses stars internationales, Bono et The Edge de U2, Brian Eno, Zucchero, Dolores O'Riordan (chanteuse des Cranberries), etc. ont répondu à l'invitation du célèbre ténor Luciano Pavarotti. Une demi-heure après le début du spectacle, Simon Le Bon et Pavarotti entrent en scène pour interpréter le classique de Duran Duran "Ordinary World", accompagnés de l'orchestre philharmonique de Turin. Alors que tout se déroule magnifiquement bien pendant les cinq premières minutes, le maestro perd les pédales dans le final et semble chercher une note à peu près juste dans une tonalité à peu près adaptée, sans succès, Simon Le Bon - impérial depuis le début - s'accroche sans broncher jusqu'au bout, ne laissant rien paraître de ce moment de solitude. Pavarotti a l'air totalement satisfait de la prestation quand les applaudissements s'élèvent, l'opéra est sauf.
Quelques années plus tard, en 2000, Simon Le Bon évoquera avec amusement cette prestation très particulière : "C'était drôle parce que Pavarotti n'a pas du tout chanté les backing vocals comme je voulais qu'il les chante. On a quand même réussi à faire la chanson correctement, on s'en est même plutôt bien sortis [...] Dans le public, il y avait la princesse Diana. Mais un rang derrière elle, il y avait ma mère, avec un immense sourire scotché sur le visage, toutes dents dehors ! Chaque fois que je la regardais, je ne pouvais m'empêcher de rire. Je suis sûr que la princesse Diana a cru que je me moquais d'elle, mais c'est ma mère qui me faisait rire."
(Extrait de Duran Duran : Les Pop modernes, Fayard, 2012).
La reprise :
L'original :
mercredi 11 juin 2014
Henri Le Sidaner et la douceur de vivre (1862 - 1939)
J'ai visité la semaine dernière au musée de Cambrai l'exposition Henri Le Sidaner, et c'est comme si j'avais fait un bond dans un monde apaisé et campagnard, accueillant et troublant de beauté pointilliste, de solitude tamisée. Bref, ressentir de telles sensations est rare par les temps qui courent.
L'expo Le Sidaner se poursuit à la Maison du port d'Etaples jusqu'au 22 juin, au Musée du Touquet - Paris-Plage jusqu'au 9 septembre et au Musée des Beaux-Arts de Dunkerque jusqu'au 28 septembre, à ne rater sous aucun prétexte. Le catalogue de l'exposition est actuellement en rupture de stock, pour cause de succès inattendu et d'engouement bien mérité.
Le bonhomme était en plus un poète exceptionnel, comme l'attestent les notes couplées à ses travaux. Un pur enchantement pour les yeux et un bol d'air frais pour l'esprit.
Le bonheur sur terre existe : dans les toiles de Henri Le Sidaner ! Bonne visite (ça sent l'été, regardez) :
L'expo Le Sidaner se poursuit à la Maison du port d'Etaples jusqu'au 22 juin, au Musée du Touquet - Paris-Plage jusqu'au 9 septembre et au Musée des Beaux-Arts de Dunkerque jusqu'au 28 septembre, à ne rater sous aucun prétexte. Le catalogue de l'exposition est actuellement en rupture de stock, pour cause de succès inattendu et d'engouement bien mérité.
Le bonhomme était en plus un poète exceptionnel, comme l'attestent les notes couplées à ses travaux. Un pur enchantement pour les yeux et un bol d'air frais pour l'esprit.
Le bonheur sur terre existe : dans les toiles de Henri Le Sidaner ! Bonne visite (ça sent l'été, regardez) :
Titre de cette dernière image : "Le Jardin blanc au crépuscule".
jeudi 5 juin 2014
♫ Nouveau CAUSEUR Juin 2014
Dans sa rubrique mensuelle Le moi de Basile, Basile de Koch me fait l'honneur de rebondir sur ma chronique du dernier album de Chris Garneau :
Causeur #14, numéro en kiosques ce mois-ci, avec Natacha Polony et Aymeric Caron en couverture.
Causeur #14, numéro en kiosques ce mois-ci, avec Natacha Polony et Aymeric Caron en couverture.
mercredi 4 juin 2014
♫ Yves Bigot Forever (et en profondeur)
Je suis ravi de constater qu'Yves Bigot fait rire (ou consterne) d'autres que moi. Ici, c'est un animateur de la RTS (Radio Télévision Suisse) qui en rend compte dans son émission La Planète Bleue (de 31'40'' à 34'45'').
Bah, dommage que l'animateur ne rentre pas plus dans les détails, il en dit trop ou pas assez (ça sent un peu le contentieux professionnel pas encore tout à fait digéré). Alors pour mes chers lecteurs frustrés qui en veulent toujours plus (plus de suspens, de chroniques senties, de bonne musique, de rires jaunes, de vie 4G, d'amour illimité, d'attaques non diffamatoires mais presque - j'ai un bon avocat) et qui en ont toujours plus, voici un passage de Duran Duran : Les Pop modernes pour aller plus loin sur le sujet Yves Bigot. Mon éditeur a eu une petite frayeur sur le caractère diffamatoire éventuel du propos mais je l'ai rassuré : "ce n'est pas de la diffamation, c'est juste l'expression d'un avis si j'ai bien compris ce que m'a dit mon avocat" :
Comme il fallait s'y attendre, l'album public de Duran Duran est éreinté par la critique. En France, Yves Bigot va jusqu'à le qualifier de "maillot jaune du plus mauvais live jamais publié par un groupe majeur". Ce journaliste sera à la tête des programmes maillots jaunes de la vulgarité télévisuelle, produits par Endemol France, dans les années 2000.
(Extrait de Duran Duran : Les Pop modernes, Fayard, 2012, le livre que les rock critics ont aimé détester).
Pour moi, Yves Bigot, c'est un peu le contraire du Synthol : ça fait du mal là où ça fait bien. Par exemple : affirmer sur France Inter que Nicola Sirkis chante faux. Bon. D'ailleurs, à ce propos, Nicola Sirkis avait dit un jour au micro de France Inter, pour "faire chier Yves Bigot", que même Pavarotti chantait faux. "Non, on n'a pas le droit de dire ça !" avait répondu Bigot.
Sacré Yves ! Mais comment doit-on appeler ça alors, si on n'a pas le droit de dire que Pavarotti chante faux ? :
Si vous appréciez les bonnes blagues d'Yves Bigot, vous pouvez aussi vous procurer son recueil Plus célèbres que le Christ ou ses biographies de Brigitte Bardot et de Michel Berger (vous pouvez aussi vous contenter des avis des lecteurs).
Et pour ceux que ça intéresse, le "maillot jaune du plus mauvais live jamais publié par un groupe majeur", excellent :
Bah, dommage que l'animateur ne rentre pas plus dans les détails, il en dit trop ou pas assez (ça sent un peu le contentieux professionnel pas encore tout à fait digéré). Alors pour mes chers lecteurs frustrés qui en veulent toujours plus (plus de suspens, de chroniques senties, de bonne musique, de rires jaunes, de vie 4G, d'amour illimité, d'attaques non diffamatoires mais presque - j'ai un bon avocat) et qui en ont toujours plus, voici un passage de Duran Duran : Les Pop modernes pour aller plus loin sur le sujet Yves Bigot. Mon éditeur a eu une petite frayeur sur le caractère diffamatoire éventuel du propos mais je l'ai rassuré : "ce n'est pas de la diffamation, c'est juste l'expression d'un avis si j'ai bien compris ce que m'a dit mon avocat" :
Comme il fallait s'y attendre, l'album public de Duran Duran est éreinté par la critique. En France, Yves Bigot va jusqu'à le qualifier de "maillot jaune du plus mauvais live jamais publié par un groupe majeur". Ce journaliste sera à la tête des programmes maillots jaunes de la vulgarité télévisuelle, produits par Endemol France, dans les années 2000.
(Extrait de Duran Duran : Les Pop modernes, Fayard, 2012, le livre que les rock critics ont aimé détester).
Pour moi, Yves Bigot, c'est un peu le contraire du Synthol : ça fait du mal là où ça fait bien. Par exemple : affirmer sur France Inter que Nicola Sirkis chante faux. Bon. D'ailleurs, à ce propos, Nicola Sirkis avait dit un jour au micro de France Inter, pour "faire chier Yves Bigot", que même Pavarotti chantait faux. "Non, on n'a pas le droit de dire ça !" avait répondu Bigot.
Sacré Yves ! Mais comment doit-on appeler ça alors, si on n'a pas le droit de dire que Pavarotti chante faux ? :
Si vous appréciez les bonnes blagues d'Yves Bigot, vous pouvez aussi vous procurer son recueil Plus célèbres que le Christ ou ses biographies de Brigitte Bardot et de Michel Berger (vous pouvez aussi vous contenter des avis des lecteurs).
Et pour ceux que ça intéresse, le "maillot jaune du plus mauvais live jamais publié par un groupe majeur", excellent :
dimanche 1 juin 2014
♫ "Duran Duran : Les Pop modernes" : les chiffres !
Aujourd'hui, 1er juin 2014, après avoir pris connaissance de mes relevés de ventes, j'ai le plaisir de vous annoncer que ma biographie consacrée à Duran Duran, parue chez Fayard le 31 octobre 2012 (Duran Duran : Les Pop Modernes), s'est vendue en moyenne à plus de cinq exemplaires par jour depuis sa sortie, sans pub et sans presse (boycott intégral, sort réservé à tous les livres qui dérangent, les lecteurs savent de quoi je veux parler) !!
Merci à tous pour ce beau score qui se maintient sans faillir grâce aux amoureux de la musique !
C'est désormais officiel, le pari a été relevé : les amateurs de ce livre que les rock critics ont aimé détester se passent le mot à l'heure d'internet, quand tout le monde peut se faire son propre jugement en quelques clics sans passer par le filtre déformant ou silencieux des cancrelats sectaires et sourds qui se croient tout puissants.
Continuez à croire en la vie, la musique et la beauté des mélodies venues d'ailleurs, elles vous le rendront bien :
Merci à tous pour ce beau score qui se maintient sans faillir grâce aux amoureux de la musique !
C'est désormais officiel, le pari a été relevé : les amateurs de ce livre que les rock critics ont aimé détester se passent le mot à l'heure d'internet, quand tout le monde peut se faire son propre jugement en quelques clics sans passer par le filtre déformant ou silencieux des cancrelats sectaires et sourds qui se croient tout puissants.
Continuez à croire en la vie, la musique et la beauté des mélodies venues d'ailleurs, elles vous le rendront bien :
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