Décidément, cette saga ne prendra jamais fin…
Courage Olivier.
Je précise par respect pour mes lecteurs que l'espace entre les deux lignes est authentique.Nous avons ici un bel exemple de corporatisme honnête et courageux. Hélène Pagesy cautionne devant ses pairs l'attitude de son collègue qui consiste à demander un livre (le fruit de longs et coûteux mois de travail) chez l'éditeur directement, avant d'attendre son exemplaire du Service de Presse - et afin surtout d'être le premier au monde à le lire -, pour se permettre ensuite de déclarer n'avoir "rien à en dire", comme si de rien n'était, parce que les journalistes ont tous les droits (c'est écrit sur la carte de presse).
L'apprentie lèche-bottes a un bel avenir devant elle, le métier rentre vite chez certaines, c'est indéniable.
Chère Hélène Pagesy, permettez-moi de poser une question à la grande professionnelle que vous semblez déjà être : pour qui est fait le Service de Presse, si ce n'est pour les journalistes ? Si Olivier Nuc n'est pas capable d'attendre son exemplaire du Service de Presse, prévu pour les journalistes, c'est qu'il ne se considère pas comme un journaliste, mais un seigneur peut-être. Et tant pis pour ceux qui envoient le livre à leurs frais, ces manants. Je vous pose cette ultime question : sous prétexte de travailler pour Le Figaro, peut-on tout se permettre ? J'invite tous les journalistes du Figaro à y répondre, soit sous cet article, soit via ma messagerie personnelle, puisque vous avez mis une douzaine de vos confrères du Figaro en copie de votre mail.
Courage Olivier, poursuivez vos méthodes chevaleresques sans vous soucier du qu'en-dira-t-on. Faut-il vous dépêcher une cellule de soutien psychologique aux frais de l'éditeur ? Ou mettre en place un service de presse spécialement dédié à votre zèle ?
Olivier Nuc, chevalier ès lettres (mention Honoris Causa Aifé), en pleine méditation transcendantale suite à sa lecture dévoyée de Jean-Louis Murat : Coups de tête (ouvrage tabou au Figaro, comme chez quelques autres maîtres censeurs, tout le monde l'a bien compris).
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