♫ "Jean-Louis Murat : Coups de tête" : déjà deux mois, jour pour jour !

Le livre Jean-Louis Murat: Coups de tête est sorti le 05 février, et il s'en est passé des choses en deux mois...

Franck Verdâtre (Magic) ne s’est toujours pas fait désenvoûter, malgré ses trois infarctus en moins de trois ans (le premier quand j’ai publié mon Duran Duran chez Fayard, le deuxième quand j’ai collaboré au Nouveau Dictionnaire du Rock et, le dernier en date, à l’annonce de ma bio Murat préfacée par Dominique A). Argh !

Olivier Nul (Le Figaro) n’a « rien à dire » (selon ses termes) sur le livre qu’il s’est pourtant empressé de quémander chez l’éditeur pour être le premier journaliste du monde à le lire - avant même d’attendre son exemplaire du Service de Presse.

Mis à part le silence des agneaux de Murat, deux mois jour pour jour après la sortie du livre, je voudrais adresser plusieurs remerciements.

Merci aux lecteurs bien sûr, qui ne se privent visiblement pas de faire partager leur plaisir autour d'eux (le bouche-à-oreille fonctionne bien, c'est indéniable).

Merci aux messages de soutiens, des anonymes comme des journalistes, je vais bientôt faire un post un peu plus précis à ce sujet.

Merci aux médias sérieux, professionnels, qui ont relayé l'info de cette sortie événement (première biographie consacrée à Jean-Louis Murat en 30 ans de carrière) et qui en ont dit le plus grand bien. Le public a répondu présent, le chanteur va finir par générer plus de ventes de livres que de disques si ça continue comme ça (en même temps, c'est pas difficile diront certains).

Pour rappel, il y a aussi le silence des bobos rockers-traders, des Inrockuptibles donc, dont j’ai déjà parlé ici. 

Et il y a enfin le silence de Rock&Folk, mais avec ce que Jean-Bernard Hebey envoie dans la tronche de Philippe Manœuvre dans le livre, ça peut se comprendre. Quoique, pour un vieux rockeur, il n’est pas très bagarreur le Phil'man.

Globalement, on sent bien que cette biographie sur Murat dérange et empêche certains de dormir, au vu de leur acharnement - deux mois après la sortie - à poser leur petite crotte partout où l'ouvrage est évoqué. C'est bien, ça les promène. J'ai déjà dédié une chanson à ces personnes (pas sûr qu'il faille mettre personne au pluriel). Bref, on rigole bien, comme prévu, et c'est pas fini.

Et pendant ce temps-là, les gens s’empressent d’aller acquérir le livre, comme Olivier Nul, mais chez leur libraire, eux : 

Joyeuses fêtes de Pâques à tous !!