On apprend en cherchant un peu sur la Toile que le journaliste du Figaro à l'origine de cette cabale à l'encontre des Fleurs du Mal (le fameux sixième sens des critiques parisiens), Gustave Bourdin, exprima son opinion en ces termes :
"J’ai lu le volume, je n’ai pas de jugement à prononcer."
Tiens donc, ça me rappelle quelque chose... Le message qu'Olivier Nuc (le "critique musical" du Figaro) m'a envoyé pour se justifier de sa petite censure mesquine envers mon livre Jean-Louis Murat : Coups de tête :
"Le silence du Figaro est dû au fait que je n’ai, pour ma part, rien à en dire."
Waow ! La postérité serait-elle sur le point de me tendre les bras sans que je m'en rende compte ?
Pour rappel, Olivier Nuc est allé chercher le livre directement chez l'éditeur, avant la sortie de l'ouvrage (et au nom du Figaro), pour être le premier à le lire...
Pour rappel également, s'il n'a rien à en dire, c'est parce que la lecture de la biographie l'a laissé bouche bée, comme l'atteste ce selfie involontairement Baudelairien du journaliste du Figaro :
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