jeudi 7 janvier 2016

♫ Révélations d'Olivier Nuc (Le Figaro) dans son hommage à Michel Delpech !

Le journaliste de rien Olivier Nuc (il avait dit de mon livre sur Jean-Louis Murat : "Je n'ai rien à en dire" après l'avoir cherché directement chez l'éditeur pour être le premier à le lire, sans attendre son exemplaire du Service de presse), célébré ici l'année dernière pour son professionnalisme exemplaire, révèle dans son hommage à Michel Delpech que le chanteur a sorti "en 1997 un album portant son nom pour titre" alors que tout le monde croyait jusqu'ici que cet album s'appelait Le Roi de rien. Dingue !

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Encore une fausse croyance qui s'écroule, merci Olivier Nuc, merci Le Figaro ! On ne peut décidément pas se fier à Wikipédia :

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Fans de Michel Delpech, passionnés de musique, il ne vous reste plus qu'à acter ce correctif partout où l'info erronée du titre Le Roi de rien figure sur la toile et à vous abonner au Figaro pour commencer l'année en toute sécurité (culturelle) !

Faites comme Christophe Officiel, CharlElie et Causeur, suivez-moi sur Twitter :
https://twitter.com/sebbataille

6 commentaires:

  1. QUESTION POUR UN ARROGANT :

    – Attention... On se concentre... C'est parti. Qui suis-je ? Lors de la préparation de ma biographie d'un musicien, je décide subitement, à rebours de toutes mes habitudes, de vérifier une information dont je n'ai aucune raison sérieuse de douter. Formulant ma demande de façon approximative, j'obtiens logiquement une réponse erronée. Après avoir été averti de ma bévue par des lecteurs attentifs, je nie toute responsabilité, d'abord en rendant public le mail envoyé par mon informateur, mais en me gardant bien de diffuser celui que je lui avais adressé (et qui est à la source de mon erreur), puis en poussant ma source à publier un message d'excuse sur les réseaux sociaux. Grand adepte du « C'est pas moi, m'dame ! C'est la faute de l'autre ! », je ne suis pourtant pas le dernier pour administrer avec emphase des leçons de déontologie à tous mes confrères. À la fois inélégant et immodeste, je suis, je suis, je suis...
    – Sébastien Bataille ?
    – OH, OUI, OUI, OUI !!! – comme disait mon prédécesseur...

    Samuel Étienne

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    1. Ce genre de message hargneux n'est que la rançon du succès, personne ne sera dupe. Vous allez finir par vous trahir, tant votre identité se dessine dans votre bave, cher Anonyme (on ne reste jamais anonyme très longtemps, surtout à notre époque). Attention, le burn-out vous guette, anonymement bien sûr.

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  2. "Succès" ?
    Quel "succès" ?
    Celui de votre dernier livre dont les ventes dépassent de trèèèèèèèèèsssssss loin les pronostics du type de la machine à café qui vous avait annoncé qu'un bouquin sur Murat ne marcherait jamais ?
    Si vous voulez vous vanter d'un quelconque "succès", cher Sébastien, commencez par citer des chiffres précis et sourcés, ainsi qu'un aperçu des chiffres de vente pour des ouvrages du même type (biographies non autorisées de chanteurs français). Vous savez : être rigoureux et précis, comme Denis Robert, que vous admirez tant.
    Ou simplement comme un journaliste, ce sera déjà un début honorable pour le porteur d'une carte de presse.
    Sinon, le coup du "Tu dis ça parce que t'es jaloux", on ne me l'avait pas fait depuis... le CM2 ? Merci pour la madeleine.
    En vous souhaitant un agréable week-end.

    Sam (who plays again).

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    1. Un anonyme qui réclame de la transparence, on aura tout vu ! Ce qui vous rend malade, c'est de n'avoir qu'un seul petit détail - toujours le même - à reprocher au livre (Cf. votre premier commentaire), hormis son existence. Car oui, au moins, cette biographie inattaquable a le mérite d'exister, ce qui n'est pas votre cas, cher Anonyme (comment exister sans identité ?).

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    2. Bonsoir Sébastien,

      Comme j'aimerais qu'une fois au moins vous répondiez sur le fond...

      1°) A propos de cet anonymat qui paraît vous causer tant de tracas, je vous renvoie à un commentaire plus ancien où j'abordais ce point (cf : http://aurayoncd.blogspot.fr/2015/12/mon-bilan-de-lannee-2015-premiere-partie-sortie-de-jean-louis-murat-coups-de-tete.html). L'attaque ad hominem étant votre principal fond de commerce, je conçois que ne pas pouvoir en user avec un commentateur lambda vous perturbe, mais je suis convaincu que vous pouvez dépasser cet aspect.

      J'ajoute que, techniquement, votre site ne permet pas (corrigez-moi si je me trompe, je ne suis pas un digital native) de rédiger de commentaire en laissant un nom (ou un pseudonyme) et une adresse mail, comme c'est le cas sur quantité d'autres plateformes. N'ayant ni site personnel, ni adresse gmail, l'option "Anonyme" est donc la seule qui me reste.


      2°) Je n'ai jamais fait, jusqu'à présent, de commentaire sur le contenu même de votre dernier livre... pour la simple et excellente raison que je ne l'ai pas lu.


      3°) Pour avoir tout de même largement feuilleté cet ouvrage en librairie, je crois pouvoir dire qu'il est, sinon attaquable, du moins critiquable. Le passage que vous semblez prendre pour votre morceau de bravoure par exemple, à savoir le témoignage de Jean-Bernard Hébey, aurait pu être un grand moment si votre interlocuteur avait eu en face de lui un intervieweur, c'est-à-dire quelqu'un qui sait relancer. Cet entretien, digne d’une sympathique conversation de bistrot (avec la dose de misogynie idoine), est un contre-modèle de journalisme.

      Autre exemple : votre compilation de citations. Je comprends votre frustration de ne pas avoir été autorisé à mettre au point l’anthologie de citations d'Hallier dont vous rêviez, mais vous auriez pu la sublimer, au lieu de simplement chercher à user du même concept pour l'appliquer à Murat. Compiler quelques punchlines de ce chanteur afin d’épaissir votre opuscule est un choix éditorial aussi ambitieux que celui qui consiste à programmer en fin d’année, sur toutes les chaînes de télévision, des bêtisiers. Il aurait été en revanche passionnant (mais cela aurait exigé un peu de travail, j’en conviens) de tenter de dégager dans le discours de Murat sur le long terme les contradictions et les persistances, les constances et les revirements.

      Ces observations très partielles et parcellaires sont toutefois à relativiser, puisque, je le répète, je n'ai fait que survoler votre ouvrage.

      ...


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  3. ...

    4°) Mes interpellations, jusqu'ici, n'ont concerné que votre blog et la rhétorique agressive que vous y mettez en place. Dans mon premier commentaire à cet énième article de dénigrement de M. Nuc, je ne reproche rien au livre (il est assez normal qu’il puisse contenir ici ou là quelques inexactitudes), mais ironise sur le nouveau caca nerveux que vous produisez ci-dessus en dénonçant avec outrance une micro-erreur d’un de vos confrères, quand vous êtes vous-même incapable de reconnaître les vôtres et en grande partie hermétique à la critique. D’une manière générale, vous prétendez sur ce blog jouer les chevaliers blancs de votre corporation, alors que rien n’indique dans votre propre pratique du métier de journaliste que vous agissiez mieux que vos confrères. Bien au contraire : en vous montrant incapable de la moindre autocritique, en assimilant systématiquement vos détracteurs à des gens malhonnêtes ou à moitié fous (généralement, les deux à la fois), en préférant la démagogie la plus rance au débat argumenté et en instrumentalisant la critique des médias à des fins de règlements de comptes personnels, vous pourriez plutôt prétendre à figurer en bonne place dans la cohorte des mauvais élèves de votre profession.


    5°) En résumé, votre tentative de biographie de Murat, critiquable (comme n’importe quel ouvrage), ne me rend pas « malade ». Je crois en revanche que votre comportement de blogueur devrait vous valoir de temps en temps quelques grands coups de pieds dans le derrière. Je comprends que lorsqu’ils viennent d’un lecteur quelconque, cela vous irrite (même si, de ma part, ils restent virtuels). J’espère donc sincèrement que vous puissiez trouver un jour dans votre entourage une ou deux personnes qui vous aiment et vous respectent assez pour vous amener à prendre conscience de ce que votre attitude peut avoir de méprisante, de puérile, de couarde et, journalistiquement parlant, je le maintiens, de malhonnête.

    Cordialement,

    Sam

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