Morceau génial, excellemment produit, et qui porte bien son nom en ce dimanche :
"Hymn For The Weekend" est extrait de l'album A Head Full Of Dreams (2015) :
Retrouvez A Head Full Of Dreams dans ma sélection des albums de l'année 2015 sur Causeur !
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** INFORMATION DESTINÉE AUX LECTEURS DE CE BLOG QUI SERAIENT DOTÉS D'UN PEU DE CURIOSITÉ ET QUI AURAIENT LA CHANCE DE POUVOIR LIRE CES LIGNES AVANT QU'ELLES NE SOIENT CENSURÉES PAR LE PROPRIÉTAIRE DUDIT BLOG **
RépondreSupprimerJeudi dernier, Sébastien Bataille regrettait d'avoir été bloqué sur Twitter par deux de ses confrères et s’indignait de cette mise à l'écart en ces termes :
« Ces âmes sensibles se permettent d'insulter à tour de bras ceux qui n'ont pas la carte dans leurs médias ou sur les réseaux sociaux, le plus naturellement du monde, mais dès qu'on vient les chatouiller eux, ils ne l’acceptent pas. Étonnant non ?
Ces petites natures intouchables n'ont pas vu grand chose dans leur vie de bobo on dirait. »
Deux jours plus tard, M. Bataille supprimait trois commentaires rédigés par un lecteur attentif en vue de compléter certaines de ses approximations, de corriger ses inexactitudes et de pointer du doigt le caractère très relatif de son impartialité.
Il effaçait également les quelques commentaires laissés précédemment par le même lecteur au cours des dernières semaines et faisait disparaître de ses propres articles les injures et menaces de poursuites qu'il avait émises à l'encontre du commentateur en question.
Samedi 20 février 2016 : le jour où Daniel Balavoine s'est retourné dans sa tombe, gêné d'être vénéré par un censeur…
Cher Matthieu,
RépondreSupprimermerci !
Méfiez-vous, Sébastien, si vous me trouvez un prénom, il ne va plus vous rester beaucoup d'arguments à m'opposer (l'inexistence stérile et pathétique de l'anonyme, tout ça...).
SupprimerPlus sérieusement, je n'allais pas jusqu'à souhaiter que vous me remerciiez : ne pas censurer des commentaires qui restent dans le cadre légal (et moral) de la liberté d'expression, me suffirait.
Si l'on pousse un peu plus loin, j'adorerais que vous nuanciez quelque peu votre vision du monde en 3D, dans laquelle on trouve les gens qui pensent comme vous (qui sont de vraies gens, authentiques, amoureux de la vie, etc.), ceux qui vous ignorent (qui sont des salauds) et ceux qui sont en désaccord avec vous (qui ne connaissent rien à rien ou sont à demi-fous). Je crois que vous êtes capable de plus de subtilité.
Enfin, si vraiment l'on s'en va chercher très, très ,très loin dans les vœux, je pense qu'au lieu d’instrumentaliser la critique des médias (qui aurait besoin, par les temps qui courent, de combattants plus loyaux et désintéressés) pour régler des comptes personnels, vous auriez tout intérêt à fermer ce blog, ainsi que votre compte Twitter et à vous atteler à un roman dans lequel vous mettriez tout à la fois votre passion (érudite) de la musique, votre connaissance du "milieu" rock (côté scène et côté presse) et les quelques névroses plus ou moins prononcées que vous avez en vous... Avec un peu de talent littéraire, je suis sûr que cela pourrait donner un livre passionnant. Adulte, honnête et classe (contrairement à nombre de posts de ce blog). Après, comme le dit Michel Onfray, blabla, blabla... Ce n'était qu'une suggestion, exprimée sans animosité.
Mais déjà, si l'on progressait sur les deux premiers points, ce serait pas mal...
Cordialement,
Sam (ou Matthieu, si ça vous chante)
"Plus sérieusement, je n'allais pas jusqu'à souhaiter que vous me remerciiez : ne pas censurer des commentaires qui restent dans le cadre légal (et moral) de la liberté d'expression, me suffirait."
SupprimerCe que vous appelez des commentaires ne sont que logorrhées acharnées de harceleur du web. Vous ne vous rendez pas compte à quel point votre attitude de névrosé dessert la cause Muratienne. Murat n'a pas besoin de justicier en peau de lapin pour défendre sa cause. Par contre, vous donnez une piètre image de ses fans.
Je vous invite à ne plus venir poster sur ce blog puisque vos prochaines logorrhées seront automatiquement supprimées : on ne censure pas le néant, on censure une personne. Or, vous êtes anonyme, Matthieu, vous êtes le néant, donc je ne vous censure pas puisque vous n'existez pas. Et comme vous n'existez pas, par conséquent, vos commentaires n'existent pas non plus.